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Selon le Rapport annuel 2020 de la CNUCED sur « Le développement économique en Afrique, Les flux financiers illicites et le développement durable en Afrique », deux principaux maux accablent l’Afrique en 2020 :

– la pandémie mondiale à coronavirus 2019, qui entraîne un essoufflement de la demande d’exportations africaines, au risque de provoquer un sérieux ralentissement ; et

– les flux financiers illicites − échanges transfrontaliers de valeur, monétaire ou autre, illégalement perçue, transférée ou employée −  qui coûtent aux pays africains une cinquantaine de milliards de dollars par an, bien plus que l’aide publique au développement que le continent reçoit chaque année.

C’est à tout le moins, dans ce contexte que l’Afrique entend mettre en œuvre, non seulement la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), qui est un nouvel espoir pour le continent et une occasion de réécrire l’histoire, mais aussi les bases d’une Afrique plus forte et résiliente à même de surmonter les obstacles actuels et à venir.

Pendant ce temps, le secteur privé, frappé de plein fouet par ce contexte, cherche diversement les moyens de se financer pour ne point mourir, notamment dans les Etats où les gouvernements n’ont pas pu apporter des mesures fiscales, incitatives et des subventions aux secteurs les plus touchés. C’est ainsi qu’on observe, d’une part une ruée vers les nouveaux moyens de financement et d’investissement, à l’instar de ceux liés à la technologie Blockchain ou le recours à la cryptomonnaie, et d’autre part, une réaction très mitigée des autorités des marchés financiers. En effet, bien souvent, au lieu de tenir compte de l’expérience récente du développement exponentiel de la mobile money, et anticiper dans la précision des cadres réglementaires applicables à ces phénomènes financiers internationaux, celles-ci se complaisent à interdire les activités d’organismes qui s’y affirment, sur le fondement parfois étonnant de l’inexistence d’un cadre juridique spécifique à leur exercice.

Pourtant, divers instruments juridiques communautaires de l’OHADA, de la CEMAC et de la ZLECAf, pour ne citer que ceux-ci,  sont implicitement précurseurs de l’affirmation de nouveaux paradigmes susceptibles de soutenir le développement des affaires en Afrique. En effet, bien qu’encore quelque peu marginaux et méconnus, ces instruments sont de nature à contribuer efficacement, aussi bien au financement optimal et sécurisé de l’économie africaine, qu’à la lutte contre les flux financiers illicites. Ceci, non pas seulement selon les techniques d’interactions gouvernementales prônées par des organismes comme la CNUCED dans son rapport précité, mais selon une approche d’intégration des besoins de financement et des outils modernes de financement dans les cadres juridiques applicables aux investissements et aux relations financières avec l’étranger.

Cette approche qui montre ses preuves en pratique rend nécessaire l’existence d’une offre d’ingénierie et d’expertise juridique, non seulement de haut niveau, mais aussi  adaptée aux évolutions, en cours et à venir, de la finance internationale, des administrations publiques, de la réglementation des changes, de la réglementation fiscale, douanière, communautaire  et de l’environnement des affaires. En effet, il est plus que nécessaire d’accompagner les opérateurs économiques et les investisseurs dans leurs objectifs de croissance sécurisée en  Afrique subsaharienne. 

Le Cabinet Zoll & Legal est une réponse mesurée à cette demande d’expertise dans cette partie du Monde. C’est d’ailleurs pour cette raison que depuis septembre 2020, Zoll and Legal a développé en son sein un nouveau Département spécialisé dans le Business des réunions (M.I.CE for investment) et l’assistance juridique dans l’utilisation des outils de financement liés de la technologie Blockchain (Blockchain’s Flows Compliance), lequel présente des résultats déjà bien élogieux.  Ainsi, fidèle à sa logique, Zoll & Legal  s’emploie à apporter à ses clients, l’autre conseil, l’autre assistance dans ces nouveaux domaines d’expertise, mais aussi dans ses domaines classiques d’intervention (Douanes, Change, Investissements, Droit des affaires, supply chain management).  Tel est d’ailleurs l’un des défis de notre  prochaine décennie !

Je porte ce défi  avec enthousiasme et conviction car, plus que moi c’est, c’est un bloc solide de collaborateurs  dynamiques et convaincus, jouissant d’une solide expérience internationale, nationale et africaine, qui est à votre service. A Zoll & Legal, nous sommes convaincus  que la main experte de l’africain sur les projets de l’Afrique ou pour l’Afrique est une donnée essentielle à votre objectif de croissance sécurisée…

Nous vous souhaitons la bienvenue chez nous et espérons vous entendre nous dire d’années après années que vous avez eu beaucoup de plaisir à nous voir vous assister.    

 Beauclair Njoya Nkamga (Ph.D.)

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